Ma fille Léa, 5 ans au moment où j’écris ces lignes, est entrée officiellement en rémission de sa maladie auto-immune, la myasthénie. Est-elle guérit ? Pas en ce qui me concerne. Si le taux des anticorps marqueurs de sa maladie a été divisé par 5 en 3 ans, il reste positif. Même faible, c’est un indicateur que le système immunitaire est toujours un peu trop actif dans l’organisme de ma choupette.
Qu’est ce qu’une maladie auto-immune ?
Mais au fait, c’est quoi une maladie auto-immune ? C’est une maladie qui est le résultat d’une hyper activité immunitaire. Une maladie est dite auto-immune, quand notre système immunitaire s’attaque à des cellules de notre organisme au lieu de ne s’attaquer qu’aux corps étrangers (virus et autres bactéries). En général, la maladie concerne un organe précis – c’est le cas du diabète – ou plusieurs – comme la polyarthrite ou le lupus. Les maladies auto-immunes les plus connues sont le diabète de type 1, La sclérose en plaque, la thyroïde d’Hashimoto, la polyarthrite rhumatoïde …
Je pensais le cas de ma fille était un cas isolé, mais d’après les informations que j’ai glané ça et là, les maladies auto-immunes sont la 3e cause de maladie en Europe et aux US !! Et il y en a 80 recensées.
Quels sont les causes de ces maladies ?
Là dessus, pas beaucoup d’informations sur le web. D’un côté on attaque le terrain génétique et juste derrière on démontre qu’il n’est pas vraiment déterminant, notamment grâce à des études faites sur des jumeaux.
Par ailleurs, les recherches récentes sur l’épigénétiques ont démontré que notre style de vie nous permet d’activer certains gènes et d’en désactiver d’autres. En gros, même avec un terrain génétique défavorable, on peut s’en sortir en se plaçant dans un environnement favorable. Ca veut dire quoi ?
Comment s’en prémunir ?
Nous devons faire attention à plusieurs facteurs :
- Un environnement bienveillant : Mieux vaut choisir de vivre dans un environnement tranquille et bienveillant qui ne génère pas de stress permanent, dans lequel nous pouvons être nous-même.
- La pollution réduite au minimum : moins nous sommes exposés aux produits toxiques de notre vie moderne, mieux c’est. Il y a des solutions pour dépolluer l’eau de nos robinets, il vaut mieux consommer des produits bio qui ne sont pas issus d’usines et ne pas mettre de substances aux noms imprononçables sur notre peau. Il y en a toujours une partie qui pénètre dans notre organisme et qui s’y retrouve à circuler dangereusement. Cette propriété de notre peau est d’ailleurs utilisée pour administrer des médicaments à des personnes trop faibles pour avaler des cachets. Ensuite, moins nous utilisons de plastique, comme les boites pour stocker nos restes qui iront avantageusement dans un bocal en verre, et d’aluminium, mieux c’est. Le papier d’aluminium n’est vraiment pas nécessaire. Le papier cuisson ou autre cellophane feront le job à merveille.
- Une nourriture adaptée à nos besoins physiologiques. La plupart d’entre nous ne savons plus pourquoi nous mangeons. C’est devenu un plaisir comme un autre. Alors qu’en fait se nourrir est quelque chose de vital. Nous nous nourrissons pour vivre le plus longtemps possible et dans la meilleure des santés possible. Nous nous nourrissons pour aider notre organisme à produire des cellules et se débarrasser des cellules et autres organismes morts. Il n’y a rien qui permette tout cela dans la nourriture industrielle. En revanche dans les fruits, légumes, oléagineux frais, crus et non transformés, il y a tout ce qu’il faut.
- Le moins de médicaments possible. OGM et antibiotiques sont déjà présents dans notre nourriture, surtout la viande. Si le label SANS OGM est écrit en gros sur nos boites de maïs, ce n’est pas forcément le cas sur la viande ! Idem pour les antibiotiques. Nous sommes abreuvés de spot nous enjoignant de ne pas en prendre de façon automatique, sauf que pour nos animaux d’élevage, le discours est loin d’être le même. On leur en donne pour les soigner, à titre préventif et même pour accélérer leur croissance. Bref, tout cela n’a ni queue ni tête et résultat des courses, on se retrouve avec une société de plus en plus résistante aux antibiotiques. Les médicaments les plus difficile à éviter sont les vaccins. contrairement aux autres produits pharmaceutiques sur le marché, eux sont obligatoires.
Les dangers de la vaccination
Evidemment, tous les vaccins ne sont pas obligatoires. Notamment la grippe par exemple, même si nombre de français y ont recours, reste optionnel. Le ROR – Rubéole Oreillons Rougeole – également. Même si votre médecin vous le conseille fortement, vous avez le droit de dire « non » en fonction de votre terrain et de vos convictions !
Le problème aujourd’hui, qui a tendance à me faire monter la colère, c’est qu’on vaccine les enfants tout petit et qu’on leur injecte plusieurs souches en même temps. Ca commence dès la naissance pour les nourrissons à risque, sinon on peut le solliciter dès ses 2 mois. Alors on lui injecte 8 souches dans une cuisse et 13 dans l’autre. Tout ça le même jour. Le premier rappel se fait un mois après, puis le 3e 6 mois après. A chaque fois c’est le même vaccin donc, sauf erreur de ma part, le même nombre de souche.
Comme ce n’était pas suffisant, on a ajouté à la formule des vaccins quelques adjuvants, notamment un ou deux à base d’aluminium pour stimuler la réponse immunitaire. Personnellement ça me parait très curieux et cette pratique dure depuis 90 ans. Je me demande si Monsieur Pasteur se retourne dans sa tombe !
Moi ça me met la rate au court-bouillon, parce que ma fille en a fait les frais. En faisant le tour des médecines parallèles et de mes hypothèses personnelles, le vaccin est sorti comme étant certainement à l’origine de son désordre immunitaire. Dans la famille nous avons un terrain favorable à ce type de maladie. Alors si elle en a hérité et qu’elle reçoit des doses de vaccins non adaptées aux capacités de son système immunitaire, pollués à l’aluminium de surcroit … je ne sais pas où on va, mais pas loin du mur.
je lis partout qu’on ne connait pas les effets des vaccins. J’ai un scoop : on ne cherche pas non plus les causes des maladies, même graves comme celles de ma fille. Il n’y a pas besoin de faire des études poussées. Si chaque médecin faisait ce job d’investigation sur les causes des maladies de ses patients, il y aurait déjà des millions de données à disposition. Mais ce qui n’est pas fait à l’hôpital, n’est pas non plus fait en cabinet médical !
Ce que nous pouvons faire
Que peut-on faire alors ? Etre vigilant et faire preuve de bon sens. Se Nourrir et nourrir nos enfants correctement en suivant des préceptes simples disponibles ici, et des recettes saines que ce soit pour les repas ou les goûters.
Pratiquer le jeûne intermittent, le jeûne sec et les purges plusieurs fois par an. C’est vraiment hyper efficace. C’est à la fois mon ressenti personnel et le résultats d’études menées sur tous les continents depuis de nombreuses années.
Ne pas abuser des médicaments. Un rhume c’est du mucus qui a besoin d’être évacué. Si vous entravons l’évacuation avec un médicament, le symptôme disparait en apparence mais en réalité il s’installe plus loin, plus profondément dans le corps. Il faut laisser sortir ce qui doit sortir et l’aider plutôt que de l’entraver.
L’alternative ? Faire appel au pouvoir des plantes grâce notamment aux huiles essentielles. Elles sont fabuleusement efficace et nous ont accompagné dans notre transition sans médicaments. Cela fait plusieurs années que les organismes de la famille n’en n’ont pas vu la couleur !
Poser le plus de questions possible à nos médecins pour leur montrer que nous sommes vigilant, que nous sommes dotés de libertés individuelles qui nous permettent d’avoir le choix dans la plupart des circonstances, et que nous sommes les premières personnes responsables de notre santé et de celle de nos enfants.
Nous renseigner, quand nous sommes atteint d’un mal dit incurable. Il y a en fait plein de choses à faire que je vais continuer de partager sur le blog et le web est une source sans fond de publications médicales, de partages d’expériences, de reportages éclairant, etc. Maîtriser l’anglais est cependant un plus pour avoir accès à la plupart des publications médicales. Mais avec le traducteur proposé par google, rien n’est plus vraiment inaccessible 😉
Et toi, y a-t-il un secteur de ta santé qui te cause du soucis ?
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